Communiqué de presse du lundi 29 mai:
Depuis environ trois mois, les travailleuses du sexe migrantes de Toulouse sont victimes d'une forte répression policière.
Ces contrôles, qui ont lieu une à plusieurs fois par semaine sur les territoires de prostitution nocturnes, ciblent exclusivement les femmes originaires d'Afrique Subsaharienne. Ils ont conduit au placement en garde à vue et, plus souvent, en centre de rétention administrative, d'au moins sept femmes.